Chaque organisation fait face à des risques qui pourraient représenter des menaces pour sa réussite. Nous le voyons avec la crise de la Covid-19 qui expose les organisations à de nouveaux risques auxquels elles n’étaient pas préparées. Mais au-delà des obligations de conformité (et même si celles-ci vont se renforcer), les risques doivent devenir un outil stratégique et opérationnel protégeant les intérêts de l’entreprise et créant de la valeur.
Le management des risques vise performance et qualité de service
La gestion des risques est durablement au cœur des préoccupations des entreprises. Le risque est intrinsèquement lié aux affaires : les entreprises prennent des risques au quotidien en opérant, en investissant, en innovant. Même l’inaction peut être risquée !
La gestion des risques doit être autant stratégique qu’opérationnelle
Elle doit surtout s’inscrire dans la culture du développement de l’entreprise. Pour poursuivre leur évolution, les entreprises locales doivent intégrer ces éléments dans leur stratégie de prévention. Certaines l’ont déjà fait et ont rapidement obtenu des résultats en termes de sécurité mais également de profitabilité et de compétitivité.
La prévention doit dépasser le simple fait de se conformer aux obligations règlementaires ou de la réduction des accidents. La prise en compte de la pénibilité, le bien-être au travail, la montée des affections psychiques… sont autant de nouveaux sujets qui témoignent de l’évolution de la société dans sa manière d’envisager son rapport au travail.
Comment identifier les menaces et s’y préparer ? La bonne approche peut faire toute la différence !
Un risque est un événement susceptible d’empêcher d’atteindre un objectif de l’entreprise. Celle-ci doit donc lister ses objectifs de performance opérationnelle, mais également ses enjeux de pérennité et ses missions au service des parties prenantes.
Les risques sont qualifiés en termes d’impact et de probabilité grâce à différents outils. On décide alors d’agir ou pas, en fonction de l’appétence du risque de l’entreprise et des coûts de couverture. Mais l’enjeu réside surtout dans la création d’une « culture du risque » propre à l’entreprise.
La méthode AD LINE Conseil, une approche spécifique :
En amont de la crise, nous vous proposons un audit afin de formaliser une méthodologie de prévention des risques (qualité-sécurité-environnement, responsabilité sociétale, recensement des zones de vulnérabilité, éléments déclencheurs…) et de gestion des crises (schéma directeur de crise, kit de gestion) susceptibles d’impacter votre organisation.
Durant la gestion de crise, nous étudions les mécanismes d’emballement ou d’apaisement, notamment dans la perception de l’opinion publique et la gestion des médias. Nous définissons les stratégies de réponses et mettons en œuvre les actions d’information adéquates afin de riposter efficacement.
Enfin, en aval de la crise, nous analysons les ressorts de la crise, étudions les positions et les stratégies des acteurs afin de tirer tous les enseignements de la crise traversée et développer des boucliers nécessaires pour éviter qu’elle puisse de nouveau se produire.
Chaque crise est unique. Chaque communication de crise est unique. Chaque gestion de crise est unique parce que le risque qui l’a fait naître l’est.
AD LINE Conseil accompagne les dirigeants à comprendre et prévoir l’impact des principaux risques stratégiques et de réputation pour qu’ils prennent les bonnes décisions et développent des stratégies adaptées, afin de transformer les risques en opportunités.
